j'ai posé un interrupteur et deux prises supplémentaires dans la grange.
On peut faire mieux, c'est sûr.
J'ai la bizarre impression d'être convalescente d'une maladie qui dure encore.y'a t'il une fin à l'interrogation ? y' aura t'il enfin du repos? Je suis fatiguée. J'ai peur de rentrer à Paris mais je ne peux pas rester là. Il faut avancer.
Demain , je vais acheter une scie à buches électrique , un gros truc qui vous mouline une corde de chêne en moins de deux. Avec un peu de chance, j'aurai le temps de monter à cheval. Je voudrais être à l'aise au galop, je n'ai pas trouvé le truc. Travailler avec un cheval, travailler ensemble, c'est extrêmement difficile.
Après demain, je reprends le train, un direct. J'en ai marre du changement à Vierzon, des omnibus qui viennent de Bourges et les cars, d'Issoudin. La gare est triste à mourir comme la ville.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire