mercredi 16 mars 2011

ouf le pire est passé

 "..Moindre que les essais nucléaires - Les retombées radioactives de l'accident nucléaire de Fukushima resteront, à l'échelle de la planète, inférieures à celles provoquées dans les années 50-60 par les essais nucléaires... " estime le directeur général de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire.
lu ici : http://www.la-croix.com/afp.static/pages/110316175756.4axvugou.htm

A  force d'incidents dans les centrales nucléaires ont va bien finir par dépasser  le score des années 50 /60

tiens , juste pour rire ...

En cherchant  les archives de Paris Match,  je tombe la dessus, article du 22 fevrier 2011, mieux que rue 89

C’est une des faces les plus méconnues de Michèle Alliot-Marie. Pendant plusieurs années, de 1995 à 2000, MAM a été présidente d’une Fondation reconnue d’utilité publique, la Fondation du bénévolat, avant de passer la main à son père, Bernard Marie, et son beau-frère, Jean-Pierre Olive. Une vraie PME familiale, dont l’histoire ne manque pas de sel.
Par David Le Bailly - Parismatch.com

Un «cadeau» de 2,5 millions de francs.
La Fondation du bénévolat est créée en 1994, grâce à l’argent du ministère de la Jeunesse et des Sports. A l’époque, la ministre s’appelle Michèle Alliot-Marie. MAM apporte à la fondation 2,5 millions de francs, sur le budget du ministère, et réussit aussi à convaincre EDF et Renault de mettre au pot. Budget total: 5,5 millions de francs. La fondation sera reconnue d’utilité publique par un décret du 5 mai 1995, la veille du second tour de l’élection présidentielle. Statut très envié, une Fondation d’intérêt public permet notamment, grâce à des exonérations fiscales, de recueillir des legs et des dons beaucoup plus facilement. Ecartée du gouvernement d’Alain Juppé en 1995, MAM prend alors la présidence de la Fondation, installée avenue Bugeaud, dans le 16ème arrondissement de Paris. Au cabinet de Guy Drut, le successeur de MAM, on s’interroge néanmoins sur cette dotation de 2,5 millions de francs, au point d’envisager d’exiger son remboursement. «Juppé voulait de la rigueur budgétaire. J’avais demandé des explications sur cette fondation. Tout a été épluché, mais nous avons convenu que les choses étaient en règle», se souvient Guy Drut.
La Direction du renseignement militaire entre en scène.
Elue à la tête du RPR fin 1999, MAM quitte la tête de la Fondation. Son père et son beau-frère prennent le relais. Pendant toutes ces années, la Fondation ne fera guère parler d’elle, jusqu’à une rocambolesque histoire de piratage informatique, en 2006. A l’époque, MAM est ministre de la Défense et envisage de se présenter contre Nicolas Sarkozy pour obtenir l’investiture de l’UMP à l’élection présidentielle. Le monde associatif et ses 10 millions de bénévoles ne doivent pas être négligés. Lobbyiste infatiguable, Bernard Marie convainc le ministère des sports, dirigé par Jean-François Lamour, de financer un système visant à offrir, via la Fondation, une assurance responsabilité civile aux dirigeants d’association. La Fondation travaille alors avec une société, EAR (Refasso), dirigée par Christian Beder, qui dispose de la plus grande base de données du monde associatif. Mais après plus de deux ans de collaboration, Bernard Marie juge les prétentions financières de EAR trop élevées. Christian Beder tente de trouver une solution avec Florimont Olive, le petit-fils de Bernard Marie et neveu de MAM. «Puis, du jour au lendemain, je n’ai plus eu de nouvelles», explique Christian Beder. Coïncidence? Au même moment, sa base de données est «aspirée», victime d’une attaque informatique de la DRM, la direction du renseignement militaire, qui dépend du ministère de la Défense, dirigé par Michèle Alliot-Marie, et dont la nièce, Ludivine Olive, la sœur de Florimont, est chef de cabinet. «La DRM a reconnu avoir aspiré ma base de données, mais nous a expliqué qu’il s’agissait d’un test et que ma société avait été choisie au hasard», raconte Christian Beder. Ce dernier a depuis attaqué en justice, et la DRM devant le Tribunal administratif de Paris, et la Fondation du bénévolat, au civil, pour «rupture abusive de pourparlers». Débouté en première instance dans les deux procédures l’an passé, il a fait appel devant la Cour administrative d’appel et la Cour d’appel d’Aix-en-provence. Quant à sa société, elle a été placée en redressement judiciaire.
Renée Marie, 92 ans, et Bernard Marie, 94 ans, les parents de Michèle Alliot-Marie (Photo Olivier Bonnefon/Maxppp)
560000 euros de subventions en 2007
En 2007, la Fondation du bénévolat obtiendra 560000 euros de subventions du ministère des sports, selon les comptes que nous avons consultés. Et ne déboursera, pour assurer les dirigeants bénévoles, que 63000 euros, via un contrat collectif souscrit à la Macif. «Nous n’avons jamais gagné un centime sur ces assurances! Evidemment que tout a été entièrement redistribué aux bénévoles», répond Bernard Marie. En 2008, la convention avec le ministère ne sera pas renouvelée, malgré les efforts de Bernard Marie…et de MAM. «Elle m’avait demandé de recevoir son père. Je l’ai fait. Il prétendait qu’il pouvait soutenir les bénévoles grâce à des assurances. Cela ne me semblait pas très opérationnel», se souvient Martin Hirsch, haut-commissaire en charge de la vie associative en 2009, qui ne donnera pas suite.
Des prestataires écroués pour escroquerie
Mais les aventures de la Fondation du bénévolat ne s’arrêtent pas là. Pour remplacer EAR, qui s’occupait de son site Internet, Bernard Marie choisit une société du nom d’Amplitude. Or, le dirigeant de cette société, Constantin G., et son père, Maxime G., sont au cœur d’une vaste affaire d’escroquerie, qui leur a valu d’être écroués l’an passé et de faire l’objet de 400 plaintes, dont la moitié déposée par une association appelée «Peintres en colère». Selon leurs accusateurs, les deux hommes, qui depuis ont été remis en liberté, faisaient miroiter à des artistes-peintres expositions dans des salles prestigieuses, catalogues haut-de-gamme et leur carnet d’adresses soi-disant bien garni. Pour mieux appâter le chaland, l’un de leurs salariés, lui aussi mis en examen, se fera même passer pour…le neveu de Michèle Alliot-Marie. Sous couvert d'anonymat, l’une des peintres de l'association «Peintres en colère» raconte : «il y a quelques mois, Florimont Olive m’a appelé. Il s’était rendu compte qu’on s’était servi de lui. Il m’a demandé si je pouvais trouver des témoignages pour attester qu’il n’y était pour rien. Il avait très peur que son nom soit mêlé à tout ça».
Une nouvelle association…toujours en famille
La Fondation du bénévolat a depuis rompu avec Amplitude. «Nous n’en étions pas satisfaits, il n’y avait pas de suivi. Je les ai perdus de vue», explique Bernard Marie. Installée désormais dans le 18ème arrondissement, la Fondation compte trois salariés. Une association a également été créée, «Les amis de la Fondation du bénévolat». Sur son site internet, on peut lire que «l’association apportera à la Fondation du Bénévolat les moyens financiers, matériels et les compétences techniques l’aidant à réaliser ses actions”. Jean-Pierre Olive en est le trésorier, Bernard Marie le président. La famille, c’est sacré. Point final

les photos d'Hiroshima

Je me souviens de ces photos de l'horreur d'Hiroshima surgissant d'un historia ou paris match. La revue a trainé longtemps dans les wc sur le  palier de la maison des 4 cyprès. 
J'en  comprenais une  particulièrement , en noir et blanc, en gris de gris, celle où l'on voit une ombre de corps humain projetée sur un mur. Le corps, au moment de l'explosion avait fait obstacle au grand flash de l'explosion , le mur avait été blanchi par l'éclair sauf derrière le corps-écran. La personne qui devait porter un nom,  une histoire et des sentiments ainsi que des rêves , a brulé sur place. Il ou elle a du voir le flash de la bombe et en même temps ,  ressenti la fournaise de l'enfer et de la désintégration . Ce que l'on espère dans ce cas est de mourir vite et que la douleur fasse perdre la conscience. 
J'ai porté  le poids du silence  post mortem et le choc de l'identification à ce drame . j'ai longtemps été hantée par ce feu désintégrateur. J'ai longtemps été pourchassée par une ombre adulte menaçante et silencieuse. j'ai  contenu ce secret  étouffant et morbide jusqu'au 19 décembre ( des cendres? ) 2010.
Depuis quelques jours, je reste confinée chez moi. Je retiens ma colère et ma douleur  face à la catastrophe du Japon. 
Je sais aussi que  ne va pas durer. Les gens, là bas , ici en Europe , ailleurs encore,  vont commencer à refuser la violence morbide  qui leur est faite,  sous n'importe quel prétexte économique, politique , religieux, familial. 
je sais que tous avons fondamentalement formidablement besoin de vivre. Avec éclat, vivre en paix dans nous et autour de nous.
Nous n'allons  plus de nous laisser esclavagiser  par le rêve de superpuissance atomique ou symbolique, par l'idéologie des  polytechniciens et des spéculateurs qui confond explosion de vie et explosion de guerre et qui  écrase la première en menaçant et usant de la seconde .
Votre fin commence messieurs et mesdames du Pouvoir. Vous nous avez cherché,  bande de gros connards, vous nous avez trouvé. Vous allez perdre et  payer.  
Une mutation  est en cour dans le corps de la  racaille des rues,  toi , moi. Le coeur rouge-vie, bat fort fort ,à  gorge déployée , à rouge-rage. Le coeur  reprend  sa place dans le corps qui  se voyait  en cendre et le réanime. 
j'ai mal à mon corps qui se contorsionne,  qui cherche l'endroit pour se poser et accoucher d'une nouvelle ère.


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la campagne de Sarko aurait été payée par la Libye. Maintenant , Il faut qu'il rembourse le peuple libyen

http://fr.euronews.net/2011/03/16/entretien-avec-saif-al-islam-kadhafi/