dimanche 30 juin 2013

oubli en stock

Enfant, que me suis-je promis de ne jamais oublié ?
- la fourche d'un guignier,
- ce que ressentent les enfants

Le reste de tous ces vœux git dans une sous-pente de ma mémoire, quelque part.
Cela me permet de trahir.

mercredi 26 juin 2013

je vous le conseille, un vrai concentré

http://www.lepouvoirmondial.com/

à ceux et celles qui voient le Mal partout , a ceux qui veulent bruler les pdzélesgouines

allez donc  lire ça

http://classiques.uqac.ca/classiques/freud_sigmund/essais_psychanalyse_appliquee/11_une_nevrose_demon/une_nevrose_demon.pdf

Le diable substitut du père ah ah ah !

bon plan

http://www.blogdugratuit.com/tag/alphonse-allais/

j'ai retrouvé la phrase d'Alphonse Allais

Je ne connais rien de plus agréable que pisser. Si j'étais riche, je pisserais tout le temps.

(Alphonse Allais)

C'est  pas dans " a se tordre " : http://www.pitbook.com/textes/pdf/asetordre.pdf

hier soir

Hier soir , j'ai diné avec Charles et Nath.
Charles cause cause et cause encore
encore plus que moi.
c'est dire.
Il dit qu' "EN BAS" (Leonora Carrington)  est trouvable a 10 € et que les prix  internet , c'est du N'IMPORTE QUOI

dimanche 23 juin 2013

vive la banqueroute


ALLAH


brouiller les pistes 3

psst .........CIA
psst ........USA
psst BLABLA

on est là

http://www.ebooksgratuits.com/pdf/perceau_redoute_contrepeteries_illustre.pdf


perso, les contrepèteries me fatiguent
mais bon , rien que pour faire chier les espions de la CIA ...

samedi 22 juin 2013

brouiller les pistes 2

ou bien ceci

 Titre : même titre que précédent 

corps du texte : 

Je vis comme une grande montagne couleur de fer, et sur elle quelqu'un était assis, resplendissant d'un tel éclat, que sa lumière offusquait ma vue ; et de chaque côté, le voilant d'une ombre douce, une aile, merveilleuse de largeur et de longueur, s'étendait. Et devant lui, au pied de la montagne, une figure toute pleine d'yeux se tenait, de laquelle je ne pouvais distinguer nulle forme humaine, à cause de la multitude d'yeux ; et devant elle, était une autre figure d'enfant, sombrement vêtue, mais chaussée de blanc, sur la tête de laquelle descendit une telle clarté, rayonnant de celui qui était assis sur la montagne, que je ne pouvais plus regarder sa face. Mais de celui-là même qui était assis sur la montagne, une infinité d'étincelles vivantes s'échappaient, qui enveloppaient ces figures, d'une grande suavité. Dans la même montagne, on distinguait, comme de nombreuses lucarnes, dans lesquelles apparurent comme des têtes d'hommes, les unes sombres, les autres blanches. Et voici que celui qui était assis sur la montagne, s'écriait d'une voix forte et pénétrante, disant : O homme, poussière insaisissable de la poussière de la terre, et cendre de la cendre, crie et parle sur l'origine de l'incorruptible
salut, jusqu'à ce que soient édifiés ceux qui connaissant la moelle des Ecritures, ne veulent ni l'annoncer, ni la prêcher, parce qu'ils sont tièdes et languissants, pour la conservation de la justice de Dieu ; à ceux-là découvre-leur la clef des mystères, que, dans leur timidité, ils cèlent sans fruit dans le secret. Dilate-toi dans la fontaine d'abondance, et coule dans une mystique érudition ; afin que ceux qui te méprisent, à cause de la prévarication de la (première) Eve, soient ébranlés par le débordement de ta source. Car, ce n'est pas de l'homme que tu tiens la pénétration de ces mystères, mais tu reçois (ce don) d'en haut, du juge redoutable et suprême, par qui cette clarté brillera d'un éclat incomparable parmi les autres lumières. Lève-toi donc, fais entendre ta voix, et dis les choses qui se sont manifestées par la puissante vertu du secours divin ; parce que celui qui commande avec bonté et puissance à toutes ses créatures, pénètre ceux qui le craignent et qui le servent avec dilection, en esprit d'humilité, de la clarté de sa divine lumière ; et il conduit ceux qui persévèrent dans les voies de la justice, vers les joies de l'éternelle vision.
    Cette grande montagne couleur de fer que tu vois, désigne la force et la stabilité de l'éternité du royaume de Dieu, laquelle ne peut être ébranlée par nul effort d'une mutabilité branlante ; et celui qui est assis sur la montagne, et dont la splendeur est si grande qu'elle offusque ton regard, t'indique dans le royaume de la béatitude, celui-là même qui, dans l'éclat de son indéfectible beauté, commande, comme suprême divinité, à tout l'univers, et est incompréhensible à l'esprit humain. Mais de chaque côté, cette ombre douce qui s'étend comme une aile merveilleuse de largeur et de longueur, signifie, dans l'admonition et le châtiment, la suave et douce protection de la bienheureuse défense, et démontre justement et pieusement l'ineffable justice, dans la persévérance de l'équité véritable.
    Et devant lui, au pied de la montagne, une figure pleine d'yeux se tient, qui, devant Dieu, en toute humilité, considère le royaume divin, et, fortifiée par la crainte du Seigneur, exerce sur les hommes avec la perspicacité d'une intention droite et juste, son zèle et son appui ; c'est pourquoi tu ne peux discerner en elle, à cause de la multitude de ses yeux, aucune forme humaine ; parce que, par l'acuité de son regard, elle déjoue à ce point tout oubli de la justice de Dieu, qu'éprouvent trop souvent les hommes dans l'hébétude de leur esprit, que l'inquisition des mortels, dans sa débilité, n'ébranle pas sa vigilance.
    Avant cette image, une autre figure d'enfant sombrement voilée, mais chaussée de blanc apparaît, parce que, précédés de la crainte du Seigneur, suivent les pauvres d'esprit ; car la crainte du Seigneur (1) par le voeu d'humilité, possède pleinement la béatitude de la pauvreté de l'esprit (2), qui n'aime pas la jactance et l'exaltation du coeur, mais la simplicité et la modestie, ne s'attribuant rien à soi, mais à Dieu, dans l'abandon de la soumission en toutes ses oeuvres ; (ce que signifie le peu d'éclat de sa tunique), pour suivre fidèlement les vestiges éclatants du fils de Dieu. Sur sa tête, une si grande clarté rayonne de celui qui est assis sur la montagne, que tu ne peux voir sa face ; parce que la sérénité de la visite de celui qui commande avec louange à toute créature, infuse une telle puissance et une telle force de béatitude, que tu ne peux en concevoir l'abondance dans tes mortelles et infirmes considérations ; car, celui qui possède toutes les richésses célestes se soumit humblement à la pauvreté.
    Mais que, de celui-là même qui est assis sur cette montagne, une multitude d'étincelles vivantes sortent, qui voltigent autour de ces mêmes images avec un charme infini, cela signife que de la toute puissance de Dieu proviennent les diverses et fortes vertus, qui resplendissent dans la divine clarté, embrassent et flattent avec amour, (les entourant de leur aide et de leur protection), ceux qui craignent Dieu en vérité, et qui aiment fidèlement la pauvreté de l'esprit.
    Dans la même montagne, apparaissent de nombreuses lucarnes, à travers lesquelles se montrent comme des têtes d'hommes, les unes sans éclat, les autres rayonnantes de blancheur ; parce que, dans la suprême hauteur de la très profonde et très pénétrante connaissance de Dieu, ne peuvent être cachées les intentions des actes humains, qui démontrent souvent par eux-mêmes leur zèle ou leur tiédeur ; car les hommes que fatigue l'action et que lassent les désirs du coeur, tantôt s'endorment dans l'infamie, tantôt s'éveillent, revenus à eux-mêmes, pour leur honneur, comme en témoigne Salomon, lorsqu'il dit, selon ma volonté : La main molle aboutit à l'indigence, mais la main des forts prépare les richesses (3). Ce qui veut dire : que l'homme se rend pauvre et misérable, qui ne veut pas accomplir les oeuvres de justice, effacer l'iniquité, remettre sa dette, et qui reste oisif dans les merveilles des oeuvres de la béatitude. Mais celui qui accomplit les très puissantes oeuvres du salut, courant dans la voie de la vérité, capte la source jaillissante de la gloire, et se prépare sur la terre et dans le ciel, les trésors les plus précieux. Et quiconque possède la science par le St-Esprit, et les ailes de la foi, ne transgresse pas mes avis, mais les reçoit avec amour pour en faire les délices de son âme.

Hildegarde  

brouiller les pistes

parait qu'on est surveillé par des drônes sur internet. faut les abreuver jusqu'à ce qu'ils saturent. Les bourrer de datas-fausses pistes.
par exemple (je commence simple) :

titre :

FBI CIA ETC

corps du texte :

VIII - CE QU'ON Y VOIT ENCORE
Mais ce que cette salle, antre obscur des vieux temps,
A de plus sépulcral et de plus redoutable,
Ce n'est pas le flambeau, ni le dais, ni la table ;
C'est, le long de deux rangs d'arches et de piliers,
Deux files de chevaux avec leurs chevaliers.
Chacun à son pilier s'adosse et tient sa lance ;
L'arme droite, ils se font vis-à-vis en silence ;
Les chanfreins sont lacés ; les harnais sont bouclés ;
Les chatons des cuissards sont barrés de leurs clés ;
Les trousseaux de poignards sur l'arçon se répandent ;
Jusqu'aux pieds des chevaux les caparaçons pendent ;
Les cuirs sont agrafés ; les ardillons d'airain
Attachent l'éperon, serrent le gorgerin ;
La grande épée à mains brille au croc de la selle ;
La hache est sur le dos, la dague est sous l'aisselle ;
Les genouillères ont leur boutoir meurtrier,
Les mains pressent la bride et les pieds l'étrier ;
Ils sont prêts ; chaque heaume est masqué de son crible ;
Tous se taisent ; pas un ne bouge ; c'est terrible.
Les chevaux monstrueux ont la corne au frontail ;
Si Satan est berger, c'est là son noir bétail.
Pour en voir de pareils dans l'ombre, il faut qu'on dorme ;
Ils sont comme engloutis sous la housse difforme ;
Les cavaliers sont froids, calmes, graves, armés,
Effroyables ; les poings lugubrement fermés ;
Si l'enfer tout à coup ouvrait ces mains fantômes.

Victor

tout ce boulot pour finir écrabouiller contre un pare-brise


réglage au 1/100 eme de milligramme

Depuis que je suis devenue minotaure, je dois réviser mon dosage de Prozac à la baisse.
Quand j'en avale trop, j'ai les dessous des ongles et les gencives  qui m’agacent et je fais des cauchemars.
C'est la cas encore ce matin.
Avec l'expérience , je ne dois pas arrêter tout car,  sans filet,  la vie me semble périlleuse.
je prends des antidépresseurs  comme d'autres du Levotyrox. je contrebalance chimiquement les hormones  que mon corps ne peux pas secréter soit chroniquement soit momentanément ( j'en sais rien encore).
je suis un sac d'hormones , je suis un tas d'inconscient, je suis mon histoire.  je me sens plus légère.
La métamorphose œuvre.






vendredi 21 juin 2013

boire

je voulais parler de la transparence mais ça a dévié en cours de route.
c'est bizarre, la transparence comme le  besoin de se confesser avant de passer de l'autre coté. Ultime tentative de redresser la barre. Va t'on chavirer par le bâbord ou par le tribord extrême de la Marine ?
Même plus peur car je uis en cours de débarrassage  du péché du monde.
y'a pourtant un truc qui me chagrine ; j'ai encore une fois oublié de souhaiter l'anniversaire de mon uncle PP le Moqueur, chef des plantations de salades hors sol.
Un de mes neveux devient jeune correspondant de l'Huma,  je suis fière et heureuse pour lui. Que va en dire sa viscérale  anti communiste  grand mère Mami les chats ?
Une de mes nièces , après avoir galéré pendant des années, se trouve une passion pour l'anglais et ça cartonne pour elle . je suis fière et heureuse pour elle. 
Que demande le peuple?  de la brioche au tosh , un revenu universel ( même si M Foucault n'était pas d'accord) et du thé froid a gogo et le soir un bon cognac , baiser bien et se faire masser les pieds.
Hier soir , une amie de ma cousine est venue nous aider à finir le cubi  de rouge ( bio).
Elle bosse a la DRH d'une collectivité  d'la territoriale. Vla qu'elle m'a foutu une angoisse du tonnerre  en racontant son quotidien , la même chose qui m'a fait péter les plombes. 90 % du temps a gérer les conflits de son équipe, 10% à tenter d'accomplir les missions. Elle en rit. ça l'amuse.
Dans la nuit,  un mal de crane de stress hydrique ( c'est comme ça que ça se dit quand on picole trop et qu'on boit pas assez d'eau ) m'a obligé à descendre de mon poulailler pour aller me réhydrater au robinet de la cuisine.
Je trouve que je bois trop d'alcool. j'ai beau me le dire et ne jamais picoler seule, je bois trop.
pas bon pour le cerveau et l'élasticité de la peau.
j'aime l'ivresse , ça fait du bien, ça délie la langue de bois
bois bois bois sans soif.
y'a quelque chose qui me fait rigoler au fond de mes tripes et c'est bon.

jeudi 13 juin 2013

mine de rien

l'impression 3D en petite série est une vraie révolution

lundi 10 juin 2013

réchauffement climatique

Réchauffement climatique. On pensait tous ou presque tous , que l'on allait pouvoir se promener en tee-shirt toute l'année,  manger du mérou dans l'ile d'oléron et des huitres à gogo. Bernique ! que de la flotte , rien que d'la flotte, encore de la flotte sur terre.
Soudain , une sournoise prise de conscience de l'arnaque et,  simultanément, de la réalité merdique , vraiment merdique, se répand  : ça va "impacter notre pouvoir d'achat" , " Ce n'est plus que ça nous pend au nez mais on a les pieds dedans" ...dans l'eau qui monte un peu partout , comme la bébête qui le fait trois fois (monter) . Peut  être bien que la bête porte des chemises brunes et des coups de poings américains. Même pas ..  elle est en col blanc, comme d’habitude. celle qui vend des armes, des pesticides , des graines stériles, de l'eau aromatisée pétrole de schiste. Triste catalogue à la pervers.
"O là" me dis-je , "quel merdier! "
Pouce pouce !
Si la vie est un grand tsunami, j'en suis  une molécule,  pas plus ni moins.
ça ne sert  rien de nager tout le temps à contre courant de la folie. Le bolide est remonté à bloc. j'ai entendu cet am a la télé un type norvégien heureux de la fonte des glaces artiques  et des forages en pleine mer because développement  du  commerce local. Eh bien oui , si la Norvege n'est pas trop ratatinée par des vents de 300km/h , elle pourrait devenir le centre d'une grande activité commerciale et maritime ( ou le contraire) ; l'Anvers de la fin du XXIeme siècle.
Tout bouge mais  ce n'est pas une raison pour se laisser se faire avoir . Faut l'ouvrir encore plus mais façon goguenarde.
Accepter d'être mortel ( ouf ! ça repose ), faire ce que l'on peut faire , ce que l'on a à faire sans masochisme ni peur.
C'est ce qui me vient depuis j'ai été minotaure d'une nuit.
Si j'avais su , je l'aurais fait plus tôt.