lundi 20 septembre 2010

Notre gouvernement n'est que le pantin de ceux là

http://www.marianne2.fr/Le-complot-de-l-OMC-contre-les-services-publics_a123832.htmle

l'article date de 2003...

une bonne religion

une bonne religion est une religion morte.

Avant de m'écrouler de sommeil : Eva Joly a remporté hier l’édition 2010 du prix Press club humour et politique

lu dans Libé :
L’eurodéputée d’Europe Ecologie Eva Joly a remporté hier l’édition 2010 du prix Press club humour et politique, pour sa formule confiée à Libération :«Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l’ai mis en examen.»

Essai sur les privilèges

Sur mes étagères de chevet, deux bouquins trainent, "Essai sur les privilèges" Sieyes et "entre séduction et inspiration: l'homme" Jean Laplanche.
Je vous les conseille.

10 000

c'est fait . 10 000 m.
En sortant, j'avais soif et faim de légumes.

ça y est

ça y est  je me suis fait traiter de parasite.

et j'ai répondu ...rien.

A un moment , il n'y a plus de parole possible, parce qu'on ne parle pas la même langue ; pas le même cerveau, pas le même cœur, pas les mêmes rêves, pas les mêmes paradis. On est loin loin

Autisme quand tu me tiens..tu me sauves.

Si c'est DSK au 2eme tour, je ne voterai pas.
La même escroquerie obscène emballée dans du papier rose.
non, non.
Les préparations, campagnes et élections 2012 risquent d'être rock'n roll et fratricides.

En attendant, je vais aller nager.
Autisme quand tu me tiens..tu me sauves.

Le monde judiciaire lance une grève du zèle

C'est la moindre des choses,  non ? 

Tribunal correctionnel: Hortefeux veut un jury comme aux assises

et bientôt les guillotines seront rétablies et fournies par Decaux.

une prison, ça rapporte ... énormément ( extrait site LDH TOULON)

une prison, ça rapporte énormément




Bouygues, Eiffage Construction, Sodexho-Alliance (Siges et Idex-Sogerex), Suez-Lyonnaise des eaux (Gepsa)... sont en prison. Pour y faire de l’argent, pas à cause de tout ce qu’on peut leur reprocher. [1]

Le système carcéral offre un excellent exemple de l’interpénétration "public-privé". Le partage des tâches est simple : le "service public" fixe les lois permettant les emprisonnements (parlement), régule les flux d’entrée et de sortie de prisonniers (police, justice) et le "service privé" fait ses choux-gras de l’exploitation du système. Le principe de base de cet accouplement monstrueux, c’est la "délégation de service public", que les contrats dits PPP (Partenariats public-privé, loi du 2 juillet 2003) ont porté à son maximum. Avec les PPP, administrations et entreprises ne font pratiquement qu’un pour l’exécution du service, et deux bien distincts pour ce qui concerne les bénéfices.
La gestion en PPP est pour les entreprises privés une manne. Elles espèrent engranger, sur le modèle américain, d’immenses profits. Grâce à un accroissement progressif -et d’ailleurs programmé- de la population carcérale, le système atteindra certainement une forte rentabilité. Les puissantes entreprises qui se sont lancées dans les PPP feront donc, avec tous les moyens dont elles disposent (les médias qu’elles contrôlent, leur copinage politique, la corruption...) tout ce qu’elles peuvent pour que la "justice" matraque de plus en plus l’habitant de base et le fasse passer par la case prison quand il leur conviendra. Leurs bénéfices en dépendent. Leur cotation à la bourse aussi.
L’histoire de la privatisation des prisons vient de loin, mais c’est en 1987 qu’elle a été relancée par Albin Chalandon (gouvernement de droite) avec la construction de 15 000 nouvelles cellules et l’attribution à une même entreprise de la conception, la construction et la gestion d’un établissement pénitentiaire. Sur les 25 prisons prévues par son programme, 21 ont été construites avec un total de 13 000 cellules.
Suite à la proposition de Pierre Méhaignerie (gouvernement de droite) Elisabeth Guigou (de gauche) décide en 1994 de reconduire la gestion mixte des 21 prisons-Chalandon et de lancer 6 prisons supplémentaires (4 000 cellules de plus). Les bénéficiaires de l’appel d’offre sont alors le groupe Eiffage Construction et le groupe Bouygues. En 2000, un milliards et demi d’euros sont débloqués pour ces constructions. En janvier 2002, l’administration pénitentiaire alloue au groupe Sodexho-Alliance (Siges et Idex-Sogerex) et au groupe Suez-Lyonnaise des eaux (Gepsa) le service de restauration pour 27 prisons.
En 2001, un programme de 35 nouvelles prisons -excusez du peu- est annoncé par Marylise Lebranchu (gouvernement de gauche). En 2002, Perben (gouvernement de droite) rebondit la-dessus. Un nouveau programme de 13 200 cellules est lancé, dont 400 à 600 cellules contre les enfants. Pour aller plus vite, il facilite la tâche des entreprises : elles sont désormais dispensées de la longue procédure prévue dans le Code des marchés publics et elles peuvent obtenir un crédit-bail avec un droit d’occupation temporaire de terrain public. De plus, Perben leur donne la gestion clef en main pour des durées de vingt à trente ans..
L’État est réduit au rôle de locataire (c’est lui qui verse au privé une redevance mensuelle) et de fournisseur (c’est lui qui envoie "gracieusement" les gens en prison, en fonction du besoin des entreprises qui gèrent les taules).
Les entreprises empochent le loyer et les frais de gestion (avec une marge confortable), le "prix de journée" pour l’entretien des prisonniers (sur lequel elles peuvent faire toutes les "économies" possibles), les sur-bénéfices de la "cantine" (tous ce que les prisonniers peuvent acheter -papier hygiénique, enveloppes...- vendu beaucoup plus cher qu’à l’extérieur) et les sur-bénéfices du travail des prisonniers (tenus au rendement et payés des clopinettes). De ce point de vue, la prison constitue l’équivalent d’une délocalisation de la production... les frais de déplacement en moins.
Les prisonniers, jusque-là soumis au seul pouvoir du directeur de prison, ont avec le PPP une double autorité. La première contrôle toujours l’application administrative de la peine, l’autre régit la logistique, le quotidien qui influe à chaque instant sur la vie en détention. Les choses sont encore plus compliquées pour eux.
Et la "Justice" là-dedans ? Il ne peut y avoir de "Justice" quand il n’est question que de profits.

et on continue d'appuyer sur les boutons rouges. Bientôt le plan super sécurité qui interdira les rassemblements de plus de 3 personnes

Le patron de l'antiterrorisme français "inquiet"
11.09.10 | 18:13 | LEMONDE.FR avec AFP et Reuters

Bernard Squarcini et Nicolas Sarkozy en 2006. GREGOIRE ELODIE/GAMMA
Le patron de l'antiterrorisme français Bernard Squarcini assure que la menace d'un attentat sur le sol français "n'a jamais été aussi grande", citant comme principale source d'inquiétude Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), dans un entretien publié, samedi 11 septembre, par le Journal du Dimanche.

Reforme de la justice extrait interview MAM ( le Monde de ce jour)

"...Autre point soulevé par la réforme : améliorer la compétitivité des cabinets en leur permettant d'atteindre une certaine dimension. "Je travaille à un rapprochement des professions par le biais de participations capitalistiques, qui donnent la possibilité à des professions différentes (avocats, notaires, huissiers de justice, commissaires-priseurs judiciaires) d'apporter leurs capitaux à une société holding tout en permettant à chacune de garder son identité propre", explique la garde des sceaux...."

et que le plus méchant gagne.

le rêve populiste









extrait : LEMONDE.FR avec AFP | 20.09.10
" Le ministre de l'écologie, Jean-Louis Borloo, dont le nom est régulièrement cité comme successeur possible de François Fillon à Matignon, estime que la compétitivité de la France est "la clef de tout", dans un entretien au quotidien Les Echos daté de lundi. ...


...Jugeant que l'élection présidentielle de 2012 se jouera avant tout "sur une vision stratégique" pour répondre à la mutation du monde, il se déclare persuadé que cette mutation est une chance et souligne qu'il y "travaille vraiment". Interrogé sur l'accent mis depuis quelques mois par Nicolas Sarkozy sur la sécurité et l'immigration, le ministre se tient à l'écart de la moindre réserve ou critique : "Il y a des séquences et la sécurité en est une", dit-il. "Il n'y a pas de prospérité sans règles et sans ordre." 

C'est simple non ? suffit de trouver ceux qui empêchent la prospérité individuelle de chaque français : les romanichels, les arabes, les noirs, les violeurs récidivistes relâchés dans la nature par des juges démagos. 

sabotages SNCF /COUPAT/ TARNAC

Les plus gros dangereux terroristes du Limousin monde

les saboteurs  indomptables radicaux  nouvelle génération
la France qui tremble
Les galons de MAM

z'avez des nouvelles?
combien  a couté ce canular ?