mardi 6 juillet 2010

corexit 9500, le nettoyant de la marée noire Louisiane

Le corexit 9500* est le nettoyant de la marée noire Louisiane. ça vaut le coup d'aller faire un tour sur ses effet : par exemple : http://www.sfgate.com/cgi-bin/blogs/ybenjamin/detail?entry_id=65552


Avec un peu de vent, - ça tombe bien , il y a un ouragan qui vient de passer - ce poison  va bien se repartir à la surface planétaire, ça ne restera pas que sur la Louisiane.
comme l'agent orange du Vietnam ( dioxyne)
http://www.vietnam-dioxine.org/dix_questions.php.
Faudrait  éviter de bouffer de la poiscaille pendant 3 486 ans
Vive ce progrès , il est épatant ! J'ajoute; il est sensationnel.
Parait que l'espace humaine va périr dans un 100 taine d'année, c'est peut être pas un mal
En attendant, bonne chance à nous tous.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Deepwater_Horizon

* Le dispersant Corexit 9500 est utilisé par BP pour disperser le pétrole en micro-gouttelettes. Ce dispersant, efficace, contient[42] du Propylène Glycol (1 à 5 % du produit) et un sel (sulfonate) d'acide organique (sel d'acide sulfonique à raison de 10 à 30 % du total) susceptible de provoquer des irritations oculaires ou de la peau (et respiratoires en cas d'exposition répétées et prolongées). Un contact cutané prolongé dessèche la peau en provoquant un inconfort et une éventuelle dermatite. Il peut aussi aggraver des dermatites existantes et causer chez l'homme (et donc peut-on supposer chez l'animal) une « pneumonie chimique » si inhalé (après qu'il a été ingéré/régurgité)[42]. Les effets à long terme du Corexit 9500 (qui est lui-même un dérivé pétrolier) sur l'écosystème marin sont inconnus.
Selon une modélisation faite par le producteur à partir d'un protocole et modèle simple fourni par l'EPA, en cas de dispersion du produit dans l'environnement, on peut s'attendre à une dispersion inférieure à 5 % pour l'air, de 10 à 30 % pour l'eau, et de 50 à 70 % pour le sol ou les sédiments. Certains des composants peuvent être bioaccumulés dans la chaîne alimentaire[42]. La LC50 (« Lethal Concentration 50 » ou « Dose létale 50 ») en 48 heures calculée par le fabricant est respectivement de 34 mg/L pour le copépode Acartia tonsa et 20,7 mg/L pour la crevette Artemia salina[42]. Selon le §.11 de la fiche, aucune étude de toxicité (pour l'homme) n'a été faite pour ce produit[42].

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