vendredi 23 avril 2010


je trainais ce matin coté mythologie grecque,.
on vient de là, de cette violence originelle, on se la traine, elle nous nourit.
j'ai toujours eu un mal de chien à me souvenir qui est le fils ou la fille de qui , avec qui,qui a tué qui et pourquoi ... ça me saoule comme tous les drames


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LA TRAGEDIE GRECQUE...LES ATRIDES
LE CYCLE DES ATRIDES

Appelé généralement « malédiction des Atrides » 
Les Atrides (en grec ancien Atreídai) sont les descendants d'Atrée, dans la mythologie grecque.
Cette maison était maudite par les dieux car fondée dans le sang du frère jumeau d'Atrée, Thyeste, et son destin fut marqué par le meurtre, le parricide, l'infanticide et l'inceste. Seul Apollon interrompra le cycle de la violence en faisant juger Oreste, le matricide, sur la colline de l'Aréopage, par le premier tribunal criminel de la cité d'Athènes.
Atrée et son frère jumeau Thyeste obtinrent le trône de Mycènes en l'absence du roi Eurysthée. En principe cette régence aurait dû être temporaire mais elle devint permanente à la mort du roi au cours du conflit. Les deux frères assassinèrent également leur demi-frè Atrée apprit alors l'adultère de Thyeste et Érope et résolut de se venger. Il tua les fils de Thyeste et les fit cuire, ne conservant que leurs mains et leurs pieds. Il les donna à manger à son frère lors d'un banquet de réconciliation puis lui montra les membres coupés.
Un oracle annonça alors à Thyeste que s'il avait un fils de sa propre fille Pélopia, ce fils tuerait Atrée. Thyeste engendra ce fils, Égisthe qui tua Atrée. Néanmoins, à la naissance d'Égisthe, la mère abandonna son enfant, honteuse de l'acte incestueux. Un berger découvrit l'enfant et le donna à Atrée qui l'éleva comme son fils. C'est seulement à l'âge adulte que la vérité fut révélée à Égisthe. Égisthe tua alors Atrée.
re Chrysippe.
Les 2 fils d’Atrés sont AGAMEMNON et MENELAS .

Suite à l'enlèvement d'Hélène par Pâris, et à l'issue de longues tractations, Agamemnon fut désigné pour mener l'expédition contre Troie. Cependant, avant que la flotte d'Agamemnon ne soit partie, les vents s'arrêtèrent soudain, immobilisant les navires. Agamemnon avait offensé la déesse Artémis en prétendant avoir tué une biche avec une adresse que la déesse même n'aurait pu égaler. Le devin Calchas annonça que la colère de la déesse ne pouvait être apaisée que par le sacrifice d'Iphigénie, fille d'Agamemnon lui-même. Agamemnon y consentit. Heureusement, peu avant le sacrifice, la colère d'Artémis s'apaisa et elle remplaça Iphigénie par une biche. La flotte put alors partir.
Après sa victoire sur les troyens , Agamemnon obtenu comme butin de guerre , la fille de PRIAM , roi de TROIE et père de PARIS . Lorsqu’il la ramena chez lui, sa femme Clytemnestre , folle de jalousie et de colère envers ce mari prêt à sacrifier leur propre fille, assassina Cassandre et tua aussi Agamemnon. La légende raconte qu’elle lui fit revêtir un manteau très serré qui le maintint captif ce qui permit à sa femme de le poignarder violemment.
ORESTE l’un des fils d’AGAMEMNON n’échappera pas lui non plus à son destin :
Il est fiancé encore enfant à sa cousine Hermione, avant la guerre de Troie.
Oreste est encore très jeune lorsque Agamemnon, de retour de Troie, est assassiné par Clytemnestre et son amant Égisthe. Électre, craignant pour la vie de son frère, réussit à le confier à leur oncle Strophios, en Phocide. Là-bas, il se lie d'amitié avec son cousin Pylade.
Parvenu à l'âge adulte, Oreste revient à Argos, accompagné de Pylade, pour exécuter l'oracle d'Apollon : venger son père en tuant Égisthe et Clytemnestre. Ce dernier crime, bien que pouvant être vu comme une juste vengeance (si l'on suit la loi du Talion), fait d'Oreste un matricide, un paria pour sa cité, et les dieux le font tourmenter par les Érinyes. Poursuivi sans relâche, en proie à des crises de folie passagères, Oreste finit par arriver à Athènes où l'assemblée des citoyens, réunie sur la colline de l'Aréopage, décide, sur les conseils d'Athéna, de l'absoudre du meurtre de sa mère

10 commentaires:

  1. Moi aussi j'ai du mal avec la mythologie et son aspect technique : pourtant j'aime lire Virgile.
    Par contre j'écoutais en voiture france culture, un truc super technique sur la musique africaine. Je ne comprenais rien et malgré ça j'aurais pu écouter la dame pendant plusieurs heures. Je comprends pas pourquoi j'aime à ce point qu'on parle technique...

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  2. c'est un plaisir d'obsessionnel , je pense ,
    un besoin de maitrise de la chose parfaite

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  3. l'assemblage et la synchronisation de plusieurs modules opérant des taches spécifiques me fascine. moteurs a explosion par exemple.
    j 'aime assez fonctionner par modélisation, ce qui me sauve est mon absolue reticence à la perfection permanente . la faille m'apaise.

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  4. J'aime les beaux ouvrages en général et savoir comment ils fonctionnent de l'intérieur, mais j'ai un coté amateur permanent et je m'inspire des grands maîtres (musiciens notamment) sans jamais les égaler mais en désirant les égaler : donc maniaquerie et obsession effectivement...

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  5. La techique et sa maîtrise sont l'antidote à la cuistrerie. On ne peut pas faire l'impasse, on pige ou on pige pas. PAs de tricherie, pas de posture, donc pas d'imposture. Je sais, ça fait chier un tas de gens... mais "o l'est d'même! "

    Pour ce qui est du tableau, j'arrive pas à trouver l'auteur. Alors j'imagine ! Un carravagesque, c'est certain ; du jaune comme ça, ça pourrait être Simon Vouet ou La Hire...
    Bref celui qui sait, il est sympa, il me dit !

    Et puis c'est rigolo, mais les trois personnages centraux, dans leur agitation baroque et mortifère s'inscrivent parfaitement dans un triskel breton... Non mais j'vous jure ! où allaient-ils chercher tout ça !

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  6. quand meme bizarre ; j'ai publié le nouveau et agréable commentaire de Mikel , malheureusement , je ne le vois pas apparaitre

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  7. Ouais, le mien en revanche, des nèfles !

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  8. oui, le triskel breton m'avait aussi tapé dans l'oeil

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  9. je ne trouve pas l'auteur du tableau d'où est issue cette image.. je repars à sa recherche

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