Honnêtement, je pense que ça t'aurait demandé quelques efforts. Et puis t'imagines, tu recueilles un chat et hop! comme une poupée russe y en a un autre dedans, dans la poche ! Moi c't'animal, j'y ferais pas vraiment confiance.En plus il a un nom d'empereur de Perse. Vaut mieux un chat persan dans ce cas non ?
wiki dit : Sardanapale a été représenté, d'abord par les Grecs, comme un roi débauché et efféminé. Ctésias de Cnide (vers 400 av. J.-C.), médecin à la cour des rois perses, a été le premier à faire le triste portrait de ce dernier grand roi assyrien :
« Sardanapale surpassa tous ses prédécesseurs en débauches et paresse. Car non seulement il ne se montrait jamais au monde extérieur, mais il menait la vie d'une femme (...). Il s'efforçait même de rendre sa voix féminine et (...) il cherchait aussi les joies de l'amour des deux sexes (...). Pour ne pas tomber aux mains des ennemis, il fit édifier un immense bûcher dans son palais, y amassa tout son or et tout son argent ainsi que ses vêtements royaux. Il enferma dans une chambre construite au milieu du bûcher ses concubines et ses eunuques, se joignit à eux tous et mit le feu à l'ensemble du palais. »[3]
À l'époque d'Alexandre le Grand, il se disait qu'on lui avait élevé, sur son tombeau, la statue d'un danseur ivre, accompagnée de cette inscription qu’il aurait composée lui-même :
« Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien. »
Ces deux vers reprennent la même idée :
« Je n’ai fait que manger, boire et m’amuser bien, Et j’ai toujours compté tout le reste pour rien. »
Honnêtement, je pense que ça t'aurait demandé quelques efforts.
RépondreSupprimerEt puis t'imagines, tu recueilles un chat et hop! comme une poupée russe y en a un autre dedans, dans la poche !
Moi c't'animal, j'y ferais pas vraiment confiance.En plus il a un nom d'empereur de Perse.
Vaut mieux un chat persan dans ce cas non ?
mon prochain chat trouvé s'appellera Sardanapale
RépondreSupprimerwiki dit :
Sardanapale a été représenté, d'abord par les Grecs, comme un roi débauché et efféminé. Ctésias de Cnide (vers 400 av. J.-C.), médecin à la cour des rois perses, a été le premier à faire le triste portrait de ce dernier grand roi assyrien :
« Sardanapale surpassa tous ses prédécesseurs en débauches et paresse. Car non seulement il ne se montrait jamais au monde extérieur, mais il menait la vie d'une femme (...). Il s'efforçait même de rendre sa voix féminine et (...) il cherchait aussi les joies de l'amour des deux sexes (...). Pour ne pas tomber aux mains des ennemis, il fit édifier un immense bûcher dans son palais, y amassa tout son or et tout son argent ainsi que ses vêtements royaux. Il enferma dans une chambre construite au milieu du bûcher ses concubines et ses eunuques, se joignit à eux tous et mit le feu à l'ensemble du palais. »[3]
À l'époque d'Alexandre le Grand, il se disait qu'on lui avait élevé, sur son tombeau, la statue d'un danseur ivre, accompagnée de cette inscription qu’il aurait composée lui-même :
« Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien. »
Ces deux vers reprennent la même idée :
« Je n’ai fait que manger, boire et m’amuser bien,
Et j’ai toujours compté tout le reste pour rien. »