Vouloir conserver et protéger sa vie est salutaire mais trop le faire devient morbide. Pulsion de vie, pulsion de mort ne sont pas opposées. L'une, la dite pulsion de mort me semble être, dans ce cas, la fixation et l'incapacité au mouvement de déprotection et d'ouverture au monde extérieur.
Vraiment , cette histoire me tracasse. Je me sens jongler en pleine contradiction interne. C'est bien, ça fait réfléchir. Peut être bien qu'à un moment , je dirai " mais bon dieu , c'est bien sûr !
Et ma violence ? celle que je veux à tout prix policer. c'est quoi ? une énergie que je m'évertue à ne pas vouloir m'attribuer ? une vieille rogne? une violence inhérente à l'humain, à moi? sadisme, cruauté ?