je ne sais pas si dans la nuit, ta main sur ta bouche étouffe mes cris ou les tiens. je ne sais plus si le volcan explose de ton corps ou du mien. A l'aube, je me penche vers toi et je trace dans l'air la limite de ta chevelure rarement en bataille et de ton front dégagé et parfait.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire