ou bien : je ne dois ni lire ni écrire, il faut donc attendre.
je ne puis qu'épeler ?
A-comme : ça doit se faire comme ça , je laisse faire
B-comme : quelque fois, je doute de ce chemin sans balise
C-comme : " soit ! " conjugué depuis la naissance à l'impératif qui fond comme une muraille de sucre
D-comme : laisse apparaitre un "être" l'indicatif qui se présente à moi sans futur préfabriqué, parce que le passé se relit d'une autre façon.
E - euh ! Mon corps du passé demande un présent, il se l'offre en nageant dans l'eau avec des ailes .
A- je suis en nage avec elle, dans son eau.
E- Se recomposent des alphabets internes d'où, bientôt peut être, sortirons de nouveaux mots
en vue et place des vieux maux.
A, B, C, D, E. Logique. Ca colle bien avec mon esprit cartésien à la noix.
RépondreSupprimerMais ensuite, A, E : là, suis perdue. Langage codé sans aucun doute.
Qu'épelez-vous ? Je nage, à mon tour, mais en eaux moins troubles... que celles où vous perdez...
Anonyme étonnant(e),
RépondreSupprimerEn "eaux moins troubles", osez-vous dire...
C'est vous qui êtes troublé(e), car contrairement à ce que vous(vous)imaginez, elle ne se perd pas, elle se re-trouve, mais ça, vous ne pouvez pas le savoir et si vous le savez,de toute évidence, vous ne le supportez pas. Comme dit Laspalès "C'est vous qui voyez"...
je ne peux pas le savoir, en effet. Je peux le présumer, vu l'histoire chargée racontée sur ce blog.
RépondreSupprimerJe m'interroge tout de même sur le fait qu'à nouveau, vous ou un autre réponde à sa place. Je m'adressais à lesa, mais c'est sans compter sur son secrétariat...
Double contrainte...
RépondreSupprimerEn commentaire à un message précédent vous disiez :
"Incroyable ! l'hydre à deux têtes ! je m'adresse à votre frère et c'est vous qui répondez !"
et à l'instant la même chose mais en inversant les propositions:
"Je m'interroge tout de même sur le fait qu'à nouveau, vous ou un autre réponde à sa place.
Je m'adressais à lesa, mais c'est sans compter sur son secrétariat..."
Vous êtes bizarre, anonyme, avec votre obsession du truchement, dans un sens ou dans l'autre, vous être drôlement faite du cerveau.
En fait, ce qui vous intéresse dans tout ça, c'est la "narration" ou comme vous dites avec une sorte de distanciation quasi-prophylactique ,après les très odieuses "eaux troubles", "l'histoire chargée racontée sur ce blog".
Vous êtes simplement une adepte du romanesque, et ce faisant, vous imaginez vous repaitre de "l'être" d'un autre en vous offrant à bon compte, sans risque, des petits frissons périnéaux. Mais comme tout lecteur bourgeois, vous jugez et moralisez, plus sournoisement encore, vous vous faites "compassionnelle" sans même vous en apercevoir,au lieu tout simplement de tirer profit de l'expérience de l'"AUTRE". Mais sans doute n'en n'avez vous pas besoin...
En fait, Anonyme, "vous n'êtes pas mécontente d'être heureuse !" et sans doute avec vous tous vos amis le sont. Vous avez bigrement raison, continuez !